Samedi : arrivée à Rio à 17h00, direction la maison de Dona Vilma pr aller chercher nos déguisement pr le Carnaval. Cette vieille Dame ns reçoit ds son garage : 1ère Coccinelle ;-) (Elle est pr Michael celle là). Ils sont drôlement gros ces sacs poubelle. Bizarre, je ne savais pas qu’un string à paillette et des plumes prenaient autant de place ;-)
On part en quête du St Graal brésilien avec Maite (Anna est allergique chronique au shopping): le maillot de bain parfait, que l’on met tout le tps pr bien avoir la marque du bronzage. Alors qu’en Europe les femmes font tout pr ne pas avoir la marque du maillot, ici c’est le must. Un décolleté plongeant sur des seins siliconés et de belles traces bien blanches d’un maillot triangle : Brasil, eu te amo ! De toute façon le topless est interdit ici, et ne me demandé pas comment je le sais ;-)
3h d’essayage sans répits. Au début on se concentrait sur le haut, mais qu’elle erreur ! Là les mecs qui lisent ce blog ne doivent pas tout comprendre : le plus important qd on achète des sous-vêtements c’est que le soutient gorge fasse un décolleté avantageux. Sauf qu’au Brésil, ils prennent le problème à l’envers : le plus important ce ne sont pas les seins mais les fesses (qu’ils appellent affectueusement « bunda »). Pr cela ils soignent le mal par le mal : pr de grosses fesses, prenez une culotte microscopique. Résultat : on est repartit de la boutique avec la plus grande culotte de maillot de bain fabriquée ici. Taille G/42 (=grand). Ça parait grand mais j’ouvre dès à présent une liste de volontaires pr venir me chercher à Vallorbe qd je serai arrêtée et reconduite à la frontière par la Police pr atteinte à la pudeur à la plage de Lutry.
Retour à Lapa où ns sommes déjà allées le WE précédent. Concert en plein air. Petite caïpi pr se mettre en forme, la soirée va être longue. Ça fait des années que je me fais plumer à boire de la glace pilée appelée Caïpirinha en Europe, ici c’est 3 Reais soit 1.75CHF et la glace pilée c’est ce qu’il y a de plus cher, donc ils compensent en mettant bcp d’alcool ! Ma team-leader, qui ne boit pas, préfère essayer d’autres facettes de la culture brésilienne.
On part en quête du St Graal brésilien avec Maite (Anna est allergique chronique au shopping): le maillot de bain parfait, que l’on met tout le tps pr bien avoir la marque du bronzage. Alors qu’en Europe les femmes font tout pr ne pas avoir la marque du maillot, ici c’est le must. Un décolleté plongeant sur des seins siliconés et de belles traces bien blanches d’un maillot triangle : Brasil, eu te amo ! De toute façon le topless est interdit ici, et ne me demandé pas comment je le sais ;-)
3h d’essayage sans répits. Au début on se concentrait sur le haut, mais qu’elle erreur ! Là les mecs qui lisent ce blog ne doivent pas tout comprendre : le plus important qd on achète des sous-vêtements c’est que le soutient gorge fasse un décolleté avantageux. Sauf qu’au Brésil, ils prennent le problème à l’envers : le plus important ce ne sont pas les seins mais les fesses (qu’ils appellent affectueusement « bunda »). Pr cela ils soignent le mal par le mal : pr de grosses fesses, prenez une culotte microscopique. Résultat : on est repartit de la boutique avec la plus grande culotte de maillot de bain fabriquée ici. Taille G/42 (=grand). Ça parait grand mais j’ouvre dès à présent une liste de volontaires pr venir me chercher à Vallorbe qd je serai arrêtée et reconduite à la frontière par la Police pr atteinte à la pudeur à la plage de Lutry.
Retour à Lapa où ns sommes déjà allées le WE précédent. Concert en plein air. Petite caïpi pr se mettre en forme, la soirée va être longue. Ça fait des années que je me fais plumer à boire de la glace pilée appelée Caïpirinha en Europe, ici c’est 3 Reais soit 1.75CHF et la glace pilée c’est ce qu’il y a de plus cher, donc ils compensent en mettant bcp d’alcool ! Ma team-leader, qui ne boit pas, préfère essayer d’autres facettes de la culture brésilienne.
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